À Djibouti, d'aucuns disent « Le khat rend les hommes dociles et impuissants mais rend les femmes riches ». Face à des hommes qui le consomment au quotidien et deviennent “accros” et désoeuvrés, ce sont les femmes qui gèrent en partie ce business lucratif. Elles sont des milliers à vendre cette drogue douce au détail. Une activité économique qui constitue pour certaines un filet de survie ou pour d’autres un tremplin social et économique.
In Djibouti, some say "Khat makes men docile and powerless but makes women rich". Faced with men who consume it on a daily basis and become "addicted" and idle, it is the women who partly manage this lucrative business. There are thousands of them selling this soft drug in retail. An economic activity which constitutes for some a survival net or for others a social and economic springboard.