Ce projet se présente sous la forme d’un journal intime. Il porte sur les stigmates de la guerre de 92-95 en Bosnie-Herzégovine à travers la personne d’Adela Jušić, une artiste reconnue de la capitale bosnienne. Adela avait une dizaine d’année
pendant le siège de Sarajevo.

Depuis 5 ans, je documente le quotidien d’Adela façonné par ses addictions à la drogue et à l’alcool qui sont les conséquences directes de son traumatisme lié à la guerre.

Ce journal est un portrait de cette generation traumatisée, sans repères, survivant dans une sorte de perpétuel exil et dont l’horloge du temps semble s’être arrêtée.

Instagram : instagram.com/jeanne_frank/

Lien du film photographique : https://vimeo.com/844209071/40dacfd5fb